Je prends des
trains, des bus; j’entends les
autres, les rires; je dors dans mes
draps, et dans d’autres parfois; je suis étendue de
tristesse et parfois j’ai ce sourire
qui me démange la peau; j’écoute les
conversations et puis je reviens à mes musiques froides; j’ai remis mon chèche,
ma petite veste à capuche, toujours mes Doc
Martens, des vêtements qui frôlent ma peau, mes cheveux détachés
dans le vent nu, et parfois je ne
me déteste plus.
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