Marcher le long
des quais
attendre un métro
au bout d’une ligne qui ne répond pas
Marcher le long de
tes doutes
entre ton corps
que je devine parfois sous mes draps.
Entre les
boulevards et les passages
attendre que l’aube
devienne mensongère
près de ton
souffle sans âge
j’ai l’horizon qui
me tient étrangère.
Paris tes nuits
sont des secrets éphémères
tu siffles des
airs d’espoirs si forts
pour me laisser
sous tes rails toute entière
je n’ai même plus
le temps d’être mort.
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