S’il faut déterminer
des délais, lequel me conviendrait?
Je m’en vais au
devant d’un espace qui me distance de la date dite et redite en moi-même. Je m’étonne
encore d’être là, alors que dehors ils vivent, s’étendent. C’est une fin d’été
qui ressemble à une capitulation, se dire que la catastrophe est déjà passée
mais qu’il faut en vivre les séquelles.
Je vivrais toutes
les routes et les tournants que m’offre le temps. Mais pour combien de temps?
Et pour combien de routes?
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