mercredi 13 mai 2009
Instant
Assise sur un coin de mon lit. Une tasse de thé noir.
Un recueil de poésie de Jean Cayrol. Le soleil qui glisse sur mes joues. La fin
de journée qui se referme comme un livre effeuillé. Le temps s’est arrêté. Il
fait doux entre les astres et les pensées; le désastre n’est plus trop à ma
portée. Chaque seconde devrait restée comme une éternité. Le temps que je
puisse. Le temps que je fasse. Le temps que je sois.
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