Dès fois j'oublie, j'oublie qu'il y a eu un avant, et que tu pouvais me voir telle que j'étais. L'oubli se sépare entre deux chemins presque identiques mais pourtant jamais les mêmes. Il y a l'oubli des autres, et l'oubli de qui l'on est. De quel oubli viens-tu?
Cette résurgence
des liens qui disparaissent
cette réserve en soi
qu'on doit contenir
ce désoeuvrement des gestes
qui tombent des nues
sans contenant
sans contenu.
De quel oubli viens-tu?
très beau et parlant...
RépondreSupprimerje me verrai bien le republier dans mon blog http://ecritscrisdotcom.wordpress.com, si vous le permettez
très beau et parlant...
RépondreSupprimerje me verrai bien le republier dans mon blog http://ecritscrisdotcom.wordpress.com, si vous le permettez
Merci beaucoup...
RépondreSupprimerOui vous pouvez le partager avec plaisir, E.