On me laisse
dormir dans mes errances
Personne au métro
de minuit
Qui verra que les
rails et le silence
Déraillent jusqu’au
fond de ma nuit ?
Quelques
inondations nocturnes
Au bord des routes
journalières
J’ai connu au
travers des brumes
Des sillons aux
allures printanières.
Dans la rue la
nuit s’est noyée
A la rame il faut
creuser le ciel
Trouver la mort écumée
A quand le son du
glas éternel ?
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