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mardi 8 mars 2011

De la noche.


On me laisse dormir dans mes errances
Personne au métro de minuit
Qui verra que les rails et le silence
Déraillent jusqu’au fond de ma nuit ?

Quelques inondations nocturnes
Au bord des routes journalières
J’ai connu au travers des brumes
Des sillons aux allures printanières.

Dans la rue la nuit s’est noyée
A la rame il faut creuser le ciel
Trouver la mort écumée
A quand le son du glas éternel ?


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