L’aube parfois ne
se lève pas
reste au lit
la lune contre son
bras.
Le ciel parfois
dessine des ombres
des visages d’autrefois
des yeux tristes
en nombres.
La vie parfois n’apparaît
pas
reste sous terre
en faisant les
cent pas.
La mort parfois
nous attend
assise au café d’en
face
une silhouette
menue dans le vent.
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