Je suis entre
cadences et décadences. J’oscille entre rythme et lenteur. Je vis par tranches
horaires. Je suis un heurtoir d’une porte où je n’entre jamais. Je ne vis pas.
Je dévie.Je n’ai pas la force de dormir ; cette nuit a quelque chose d’interminable.
On ne finit pas une nuit qui vous a déjà achevé. Je vais rester là, plantée. A
regarder les heures descendre par intervalles réguliers.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire