Au terme de soi il
y a toujours soi
en comptant les
jours il y a les mois
en creusant la
pluie il y a les larmes
en poussant le
sourire il y a le drame.
Quelqu’un s’assit
toujours et regarde
les volets nous
ont refermé aux jours
aux comptoirs
souvent l’on s’attarde
on est immobile
dans nos allez-retours.
On attend que
quelque chose se fasse
n’importe quoi
mais que la vie frémisse
parfois on trouve
des affaires et on les ramasse
on attend que les
départs nous définissent.
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