Je les imagine,
priant, aimant leur solitude.
Un bout de ciel, à
notre portée.
Un nuage, une
certitude,
Le long de notre
destinée.
En pensant à eux, à
ces gens qui, lors d'un soir ou d'un jour nacré, ont tout laisser tomber, et
ont couru, éternels, vers leur vocation, je me dis qu'une lumière existe, que
l'amour existe, et je me sens mieux soudain, mieux.
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